De Le musée Fabre est tout sauf un lieu de stockage d’œuvres artistiques qui prennent la poussière. Les équipes du musée Fabre font vivre ce lieu qui expose un patrimoine artistique varié et de qualité. Les moyens numériques complètent des animations pour tous les âges. Des événements sont organisés, qui attirent des étudiants. Ainsi, il est possible de s’initier à l’art et de prendre plaisir à la fréquentation des peintures, des sculptures. Par ailleurs, la politique d’acquisition du musée permet de maintenir l’intérêt des visiteurs qui ne se limitent pas à la Métropole.
Le directeur, Michel Hilaire, nous présente l’actualité du musée et les projets conduits par ses équipes.
Après la période liée au Covid, nous avons assisté à une résurrection de la fréquentation du musée et de l’intérêt pour les œuvres. Michel Hilaire évoque la dimension cultuelle qui existe au musée. Elle se traduit par une curiosité autour de l’art et de la création. De fait, le musée permet la rencontre avec le sacré et provoque des émotions – le frisson qui est la manifestation de l’expérience religieuse.
La vie du Musée
Michel Hilaire nous explique le sens de la muséographie de l’exposition de peintures « le théâtre du silence » de Djamel Tatah. Il nous présente aussi Germaine Richier, une artiste montpelliéraine qui est à l’origine de l’incorporation de nouvelles matières dans ses sculptures. L’exposition, qui a été conçue en partenariat avec le centre Georges Pompidou (Paris), sera visible à partir du 12 juillet.
Michel Hilaire nous parle également de la politique d’acquisition du musée Fabre. Avec l’appui des mécènes et de la Métropole, le musée prend toute sa part sur le marché de l’art. La France réalise la moitié de toutes les ventes en Europe. Désormais, Paris a dépassé Londres dans sa capacité à attirer les galeries.
Le site Internet permet de découvrir les collections du musée Fabre https://museefabre.montpellier3m.fr/